Cadres intermédiaires spécialisés/cadres intermédiaires spécialisées des services administratifs, services financiers et des services aux entreprises et services de communications (sauf la radiotélédiffusion)

Cadres intermédiaires spécialisés/cadres intermédiaires spécialisées des services administratifs, services financiers et des services aux entreprises et services de communications (sauf la radiotélédiffusion)

Directeurs/directrices d'entreprises de télécommunications

CNP 10030

Description générale

Les directeurs d’entreprises de télécommunications planifient, organisent, dirigent, contrôlent et évaluent les opérations d’un établissement, d’un service ou d’une installation de télécommunications. Ils travaillent pour des services de télécommunication par câble, sans fil et par satellite et pour d’autres compagnies de télécommunications.

Autres appellations d'emplois

  • coordonnateur/coordonnatrice des services techniques – télécommunications
  • directeur/directrice des services de commutation
  • directeur/directrice des services de commutation – télécommunications
  • directeur/directrice de district – télécommunications
  • chef de l’équipement – télécommunications
  • surintendant/surintendante des installations – télécommunications
  • directeur/directrice de l’installation de réseaux
  • directeur/directrice de l’installation de réseaux – télécommunications
  • directeur/directrice de réseau – télécommunications
  • directeur/directrice de programmes – télécommunications spatiales
  • directeur/directrice des installations à micro-ondes
  • directeur/directrice des installations à micro-ondes – télécommunications
  • directeur/directrice de l’exploitation de réseau – télécommunications
  • directeur/directrice de l’exploitation de réseaux
  • directeur/directrice des services de réseau
  • directeur/directrice des services de réseau – télécommunications
  • directeur/directrice de l’exploitation et des services de transmission
  • directeur/directrice de l’exploitation et des services de transmission – télécommunications
  • directeur/directrice de l’exploitation – télécommunications
  • directeur/directrice d’usine de cadrans – télécommunications
  • directeur régional/directrice régionale – système de télécommunications
  • directeur/directrice de la surveillance – télécommunications
  • directeur/directrice des services de télécommunications
  • directeur/directrice du trafic – systèmes de câblodistribution
  • directeur régional/directrice régionale de compagnie de téléphone
  • directeur/directrice de district de compagnie de téléphone
  • directeur/directrice du trafic – système téléphonique
  • chef du trafic – télécommunications
  • directeur/directrice des télécommunications
  • directeur/directrice de station terrestre – télécommunications
  • directeur/directrice de la transmission des télécommunications
  • directeur/directrice du trafic d’un réseau – télécommunications
  • responsable d’usine de cadrans – télécommunications
  • directeur adjoint/directrice adjointe de centre de gestion de réseau
  • directeur/directrice de la production – télécommunications
  • directeur/directrice des services techniques
  • directeur/directrice d’installation de réseaux
  • directeur/directrice des installations de télécommunications
  • directeur/directrice de section des télécommunications

Perspectives d'emploi

Lanaudière Mauricie Capitale-Nationale Saguenay - Lac St-Jean Centre du Québec Abitibi-Témiscamingue Bas-St-Laurent Chaudière-Appalaches Laurentides Estrie Outaouais Montérégie Gaspesie - Îles-de-la-Madeleine Montréal Laval Nord du Québec Côte-Nord
  • Excellentes
  • Bonnes
  • Limitées
  • Non-publié

Particularités

Pour travailler comme « directeur/directrice – entreprises de télécommunications » :

Reconnaissance des compétences

Diverses combinaisons de formation et d’expérience peuvent être envisagées pour exercer cette profession et plusieurs options de reconnaissance pourraient être appropriées. 


Pour les personnes ayant de l'expérience en gestion et qui souhaiteraient la faire reconnaître auprès d'un ordre professionnel, consulter le lien ci-dessous concernant l'Ordre des administrateurs agréés du Québec.

  • L’Ordre des administrateurs agréés du Québec est un ordre professionnel voué à la gestion et à la gouvernance. Les membres de l’Ordre portent le titre d’« administrateur agréé (Adm.A.) ».
  • Il n’est pas obligatoire de faire partie de l’Ordre des administrateurs agréés du Québec, mais l’adhésion à l’ordre professionnel pourrait constituer un atout sur le marché du travail.

Une autre avenue serait de faire une demande de reconnaissance des acquis dans l’un des programmes universitaires de premier ou de deuxième cycle menant à un diplôme en administration des affaires, administration publique ou gestion.

N. B. : Pour faire une demande de reconnaissance des acquis au niveau universitaire, il faut déjà être admis dans un programme. Le nombre de crédits pouvant être obtenu en reconnaissance est soumis à un maximum autorisé par les universités et peut varier d'une institution à l’autre. 

 

Ententes de reconnaissance

Entente entre le Québec et la France en matière de reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles

Grâce à l’Arrangement de reconnaissance mutuelle de qualifications professionnelles France-Québec (ARM), les titulaires des diplômes français suivants sont automatiquement admissibles au permis d’Adm.A. délivré par l’Ordre des administrateurs agréés du Québec : 

a) Une licence en économie et en gestion délivrée par le ministre chargé de l’Enseignement supérieur et portant l’une des mentions suivantes : « Économie-Gestion », « Économie-Management », « Sciences de Gestion », « Gestion », « Management », « Administration Économique et Sociale » ;
b) un Master délivré par le ministre chargé de l’Enseignement supérieur et portant l’une des mentions désignées ;
c) un Master délivré par les écoles de commerce visées par le règlement pris en application de l’ARM.

Voir le cadre de l’entente concernant l’Ordre des administrateurs agréés du Québec (OAAQ) :  ARM entre l’OAAQ et le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche de la France

Pour en savoir plus 

Entente Québec-France

Maîtrise du français

« Au Québec, le français est la langue officielle : celle de l’enseignement, du travail, des affaires, du commerce et de la culture. En vivant au Québec, vous utiliserez le français tous les jours. Parler le français facilitera votre intégration et votre participation à la société québécoise. »

Source : Ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration

Apprentissage du français

Peut-être avez-vous besoin d’améliorer votre connaissance du français
pour faciliter votre intégration au Québec ? Voici les services qui
vous sont offerts :

  • Services de francisation du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration

Cours de français gratuits

Banque d’exercices de français en ligne

  • Services de francisation des centres de services scolaires

Consultez l’un des centres de services scolaires de votre région

  • Services de francisation répertoriés par l’Office québécois de la langue française

Liste d’établissements offrant des cours de français, langue seconde

Liste des établissements d’enseignement avec lesquels l’Office a développé des ententes de collaboration

Ressources intéressantes pour améliorer ses compétences en français oral et écrit


Ordres professionnels

  • Les membres des ordres professionnels doivent avoir une connaissance du français appropriée à l’exercice de leur profession. L’article 35 de la Charte de la langue française indique comment faire la preuve de cette connaissance. Dans certains cas, les ordres professionnels dirigent leurs candidats vers le Service de l’évaluation du français des ordres professionnels de l’Office québécois de la langue française (OQLF) pour qu’ils se présentent à un examen de français.
  • Un candidat qui ne satisfait pas aux exigences de la Charte de la langue française, mais qui, par ailleurs, satisfait aux conditions d’exercice d’une profession régie par un ordre professionnel, peut obtenir un permis temporaire d’une durée maximale d’une année. Ce permis temporaire sera remis par l’Ordre concerné, accompagné d’un formulaire d’inscription à l’examen de français de l’Office québécois de la langue française.
  • Un renouvellement du permis peut être envisagé, et ce, au plus trois fois. Tout renouvellement est conditionnel au respect de certains critères, dont l’intérêt public. La demande de renouvellement peut donc être refusée.
  • Le permis temporaire est uniquement accordé au candidat diplômé à l’extérieur du Québec. 

Office québécois de la langue française : examen de français

Programmes d'accompagnement

Ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI)


Conseils en emploi
  • PROFIL – Clinique juridique – Université de Montréal :  La clinique offre un service d’information juridique personnalisé avant, durant et après le processus d’intégration pour exercer une profession ou un métier réglementé au Québec. Le service est offert gratuitement et sur rendez-vous seulement.


Prêts pour professionnels immigrants

La mesure Prêts pour la reconnaissance des titres de compétences étrangers (PRTCE) vise à aider des personnes formées ou diplômées à l’étranger qui éprouvent des difficultés financières lors du processus de reconnaissance de leur diplôme et de leurs qualifications professionnelles au Québec. Cette mesure d’aide financière est administrée par des organismes mandatés qui verront à ce que des établissements financiers attribuent des prêts à de faibles taux d’intérêt aux personnes admissibles.

Source: Gouvernement du Québec


Où faire une demande de prêt ?

Ces organismes sont mandatés par le gouvernement.

Liens utiles

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