Personnel professionnel des services gouvernementaux
Personnel professionnel du droit, d'enseignement, des services gouvernementaux, sociaux et communautaires
Économistes, recherchistes et analystes des politiques économiques
Description générale
Les économistes, les recherchistes et les analystes des politiques économiques, effectuent des recherches, contrôlent des données, analysent de l’information et préparent des plans et des rapports dans le but de résoudre des problèmes économiques et commerciaux, et ils élaborent des modèles afin d’analyser, d’expliquer et de prévoir les phénomènes et les tendances économiques. Ils formulent des conseils sur des questions comme les finances, la fiscalité et la politique monétaire, le commerce international, les produits agricoles et les ressources naturelles, le marché du travail et l’industrie. Ils travaillent pour des ministères et organismes gouvernementaux et dans tout le secteur privé, y compris les associations, syndicats, organismes de recherche, banques et sociétés de placements.
Autres appellations d'emplois
- économiste agricole
- analyste en économie
- analyste économique
- analyste économique en fiscalité
- économiste d’entreprise
- économiste du développement
- économétricien/économétricienne
- superviseur/superviseure de groupe de recherche économique
- recherchiste en politiques économiques
- économiste général/économiste générale
- économiste des ressources naturelles
- économiste financier/économiste financière
- économiste forestier/économiste forestière
- économiste de la santé
- économiste du secteur de la santé
- économiste industriel/économiste industrielle
- économiste des relations industrielles
- économiste du commerce industriel
- économiste du commerce international
- économiste des placements
- économiste des ressources humaines
- économiste de l’utilisation des terres
- économiste mathématicien/économiste mathématicienne
- économiste des prix
- économiste des ressources
- économiste social/économiste sociale
- analyste en commerce
- économiste du commerce
- économiste des transports
- économiste du secteur du bien-être social
- analyste des traitements – politiques économiques
- analyste salarial/analyste salariale
- conseiller économique/conseillère économique
- conseiller/conseillère en consommation – économie
- économiste en fiscalité
- analyste des politiques économiques
- économiste des ressources forestières
- économiste du travail
- analyste de l’information sur le marché du travail
- analyste commercial/analyste commerciale en économie
- consultant/consultante en économie
- expert-conseil/experte-conseil en économie
- conseiller/conseillère en politiques économiques
- économiste du marché des capitaux
- économiste régional/économiste régionale
- analyste de la gestion de risques
- économiste de l’énergie
- économiste des ressources territoriales
- économiste
- analyste de l’intelligence d’affaires – recherche économique
Perspectives d'emploi
- Excellentes
- Bonnes
- Limitées
- Non-publié
Particularités
Pour travailler comme « économiste, recherchiste et analyste des politiques économiques » :
- Une maîtrise en économie ou dans un domaine connexe, comme l’administration des affaires ou la statistique, est habituellement exigée.
- Dans certains cas, un doctorat en économie peut être demandé.
- L’expérience de travail permet d’accéder à des postes de direction en économie.
Reconnaissance des compétences
- Diverses combinaisons de formation et d’expérience peuvent être envisagées pour exercer les professions du groupe « économistes, recherchistes et analystes des politiques économiques » et plusieurs options de reconnaissance pourraient être appropriées.
- Une avenue pourrait consister à faire une demande de reconnaissance des acquis dans l’un des programmes universitaires suivants : sciences économiques, économie rurale et agricole, économique, études géopolitiques, études urbaines, gestion et administration des entreprises, opérations bancaires et finance, science politique, statistique, administration des affaires.
- Pour avoir la liste des universités offrant de tels programmes, voir le site de l’IMT (Information sur le marché du travail).
- Voir également, au besoin, les politiques de reconnaissance des acquis des universités québécoises.
-
N. B. : Pour faire une demande de reconnaissance des acquis au niveau universitaire, il faut déjà être admis dans un programme. Le nombre de crédits pouvant être obtenu en reconnaissance est soumis à un maximum autorisé par les universités et peut varier d'une institution à l’autre.
Maîtrise du français
« Au Québec, le français est la langue officielle : celle de l’enseignement, du travail, des affaires, du commerce et de la culture. En vivant au Québec, vous utiliserez le français tous les jours. Parler le français facilitera votre intégration et votre participation à la société québécoise. »
Source : Ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration
Apprentissage du français
Peut-être avez-vous besoin d’améliorer votre connaissance du français
pour faciliter votre intégration au Québec ? Voici les services qui
vous sont offerts :
- Services de francisation du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration
Banque d’exercices de français en ligne
- Services de francisation des centres de services scolaires
Consultez l’un des centres de services scolaires de votre région
- Services de francisation répertoriés par l’Office québécois de la langue française
Liste d’établissements offrant des cours de français, langue seconde
Ressources intéressantes pour améliorer ses compétences en français oral et écrit
Programmes d'accompagnement
Ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI)
- Programme d’aide financière pour la formation d’appoint en reconnaissance des compétences : Le programme offre un soutien financier aux personnes qui se verront prescrire une formation par un organisme de réglementation. Cette formation doit conduire à l’obtention des permis nécessaires à l’exercice d’une profession. Plusieurs professions du secteur de la santé, de l’enseignement et du génie sont admissibles au programme d’aide financière (voir la liste complète).
- S’installer et s’intégrer au Québec
- Service d’intégration pour les personnes immigrantes
- Services offerts par les partenaires du MIFI
Conseils en emploi
- Accompagnement, counseling et soutien en matière de recherche d’emploi / Répertoire des organismes au Québec
- Guide pratique de recherche d’emploi / Québec
- PROFIL – Clinique juridique – Université de Montréal : La clinique offre un service d’information juridique personnalisé avant, durant et après le processus d’intégration pour exercer une profession ou un métier réglementé au Québec. Le service est offert gratuitement et sur rendez-vous seulement.
Prêts pour professionnels immigrants
La mesure Prêts pour la reconnaissance des titres de compétences étrangers (PRTCE) vise à aider des personnes formées ou diplômées à l’étranger qui éprouvent des difficultés financières lors du processus de reconnaissance de leur diplôme et de leurs qualifications professionnelles au Québec. Cette mesure d’aide financière est administrée par des organismes mandatés qui verront à ce que des établissements financiers attribuent des prêts à de faibles taux d’intérêt aux personnes admissibles.
Source: Gouvernement du Québec
Où faire une demande de prêt ?
Ces organismes sont mandatés par le gouvernement.
Liens utiles
- Économistes et analystes des politiques économiques | Gouvernement du Québec
- Association des économistes québécois
- Association des professeurs d’économie et de gestion
- Institut québécois de planification financière (IQPF)
- Association des professionnels en gestion philanthropique (APGP)
- Association canadienne d’économique (ACE)
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