Personnel professionnel en ingénierie
Personnel professionnel des sciences naturelles et appliquées
Ingénieurs électriciens et électroniciens/ingénieures électriciennes et électroniciennes
Description générale
Les ingénieurs électriciens et électroniciens conçoivent, planifient, étudient, évaluent et mettent à l’essai de l’équipement et des systèmes électriques et électroniques. Ils travaillent pour des services publics d’électricité, des entreprises de télécommunications, des fabricants de matériel électrique et électronique, des firmes de consultants et pour une gamme variée d’industries de fabrication, de transformation et de transport et pour la fonction publique.
N. B. : Au Québec, le titre « ingénieur/ingénieure électrique » est utilisé.
La profession d’ingénieur au Québec
De tout temps, l’ingénieur est appelé à résoudre des problèmes technologiques, concrets et souvent complexes, liés à la conception, à la réalisation et à la mise en œuvre de produits, de systèmes ou de services. Pour assumer un rôle si stratégique dans la société, ce professionnel doit maîtriser un ensemble de connaissances techniques — économiques, sociales, environnementales et humaines — qui reposent sur une solide culture scientifique.
Information tirée du site Web de l’Ordre des ingénieurs du Québec (OIQ).
Pour en savoir plus
- Loi sur les ingénieurs (à jour au 1er juin 2018)
- Qu’est-ce qu’un ingénieur ? (Ordre des ingénieurs du Québec)
Autres appellations d'emplois
- ingénieur/ingénieure en conception d’amplificateurs analogiques
- ingénieur/ingénieure de transmissions par antenne
- ingénieur/ingénieure du son – électricité et électronique
- ingénieur/ingénieure en avionique
- ingénieur/ingénieure en chef – puissance électrique
- ingénieur électronicien/ingénieure électronicienne en chef
- ingénieur/ingénieure en chef – radiotélédiffusion
- ingénieur électricien/ingénieure électricienne en chef
- ingénieur concepteur/ingénieure conceptrice de circuits
- ingénieur/ingénieure de systèmes de commande
- ingénieur concepteur-élaborateur/ingénieure conceptrice-élaboratrice de systèmes électriques et électroniques
- ingénieur concepteur/ingénieure conceptrice en électricité
- ingénieur concepteur/ingénieure conceptrice en radiotélédiffusion
- ingénieur concepteur/ingénieure conceptrice de circuits numériques
- ingénieur concepteur/ingénieure conceptrice de contrôleurs de poste d’affichage
- ingénieur/ingénieure en distribution d’électricité
- ingénieur/ingénieure en distribution électrique
- ingénieur/ingénieure en planification de la distribution électrique
- ingénieur/ingénieure de recherches en électricité et en électronique
- ingénieur électricien/ingénieure électricienne
- ingénieur/ingénieure en appareillage électrique
- ingénieur/ingénieure de recherches en électricité
- ingénieur/ingénieure en planification de systèmes électriques
- ingénieur/ingénieure d’instruments
- ingénieur/ingénieure en instrumentation
- ingénieur/ingénieure de recherches en électronique
- ingénieur électronicien/ingénieure électronicienne
- ingénieur/ingénieure en instrumentation et en contrôle
- ingénieur/ingénieure en construction de lignes
- ingénieur/ingénieure en équipement à basse tension
- ingénieur/ingénieure de compteurs
- ingénieur/ingénieure en métrologie
- ingénieur/ingénieure de réseaux électriques
- ingénieur/ingénieure en distribution d’électricité par câbles aériens
- ingénieur/ingénieure en contrôle de procédés électriques
- ingénieur/ingénieure de procédés d’instrumentation
- ingénieur/ingénieure en diffusion
- ingénieur/ingénieure en protection de réseaux électriques
- ingénieur/ingénieure en relais de protection
- ingénieur/ingénieure de systèmes radars
- ingénieur/ingénieure de recherches radio
- ingénieur concepteur/ingénieure conceptrice d’éclairage routier
- ingénieur/ingénieure en électrification rurale
- ingénieur/ingénieure d’instruments de bord de satellites
- ingénieur/ingénieure en entretien et en réparation de réseaux d’énergie électrique
- ingénieur/ingénieure en signalisation
- ingénieur électronicien/ingénieure électronicienne en aérospatiale
- ingénieur électricien/ingénieure électricienne en services techniques
- ingénieur/ingénieure de systèmes de télévision
- ingénieur/ingénieure d’essais en électronique
- ingénieur/ingénieure en transport d’énergie électrique
- ingénieur/ingénieure en planification du transport d’énergie électrique
- ingénieur/ingénieure en distribution souterraine d’électricité
- ingénieur concepteur/ingénieure conceptrice de réseaux électriques
- ingénieur concepteur/ingénieure conceptrice de systèmes de radiotélédiffusion
- ingénieur/ingénieure en établissement de programmes d’alimentation électrique
- ingénieur/ingénieure en microélectronique
- ingénieur/ingénieure de la recherche – nanoélectronique
- ingénieur/ingénieure d’antennes satellitaires
- ingénieur/ingénieure des commandes électriques
- ingénieur/ingénieure de projets électriques
- ingénieur/ingénieure en conception de signaux analogiques et mixtes
- ingénieur/ingénieure en automatisation – systèmes électriques et électroniques
- chef de projet en génie électrique
- chef d’équipe en génie électrique
Perspectives d'emploi
- Excellentes
- Bonnes
- Limitées
- Non-publié
Particularités
Pour travailler comme « ingénieur électricien et électronicien »
- Pour travailler à titre d’ingénieur, il est obligatoire d’être membre de l’Ordre des ingénieurs du Québec.
- Selon le Code des professions, il s’agit d’une profession à titre
réservé et d’exercice exclusif, c’est-à-dire que seuls les membres de
cet ordre professionnel
sont autorisés à utiliser le titre d’« ingénieur », à poser les actes
professionnels et à exercer les activités que la loi leur réserve. -
Pour en savoir plus : Voir la Loi sur les ingénieurs
- Selon le Code des professions, il s’agit d’une profession à titre
➡ Exercice illégal des professions
-
Il est exigé d’avoir un diplôme de premier cycle universitaire en
génie civil ou dans une spécialisation telle que le génie des eaux, le
génie du bâtiment, le génie de la géomatique ou d’un autre domaine
pouvant mener à une reconnaissance de connaissances ou de compétences.
To work as an “electrical engineer”:
- To work as an engineer, it is mandatory to be a member of the Ordre des ingénieurs du Québec.
- According to the Professional Code, this is an exclusive profession with a reserved title—that is, only members of this professional order are authorized to use the title of “engineer,” to engage in the professional acts, and to practice the activities reserved to them by law.
See the Engineers Act.
➡ Illegal practice of professions
- It is required to obtain a bachelor’s degree in electrical engineering or a specialization such as electronics engineering or another field that may lead to skills or knowledge recognition.
Para trabajar como “ingeniero eléctrico”:
- Para trabajar como ingeniero es obligatorio ser miembro de la Colegio de Ingenieros de Quebec.
- De acuerdo con el Código de Profesiones,se trata de una profesión reservada y de ejercicio exclusivo; es decir, que solo los miembros de esta asociación profesional tienen derecho a usar el título de “ingeniero”, para realizar los actos profesionales y ejercer las actividades que les están reservadas por ley.
Ver la Ley sobre los Ingenieros.
➡ Ejercicio ilegal de las profesiones
- Se requiere un título universitario de ingeniería eléctrica o en una especialización como ingeniería en electrónica u otro campo que pueda llevar a la acreditación de conocimientos o habilidades.
Reconnaissance des compétences
N. B. :
Programme d’aide financière pour la formation d’appoint en reconnaissance des compétences (PAFFARC)
Le programme offre un soutien financier aux personnes qui se verront prescrire une formation pour obtenir un permis d'exercice à la suite de l'évaluation de leurs compétences par l'Ordre des ingénieurs du Québec. Voir l'option 1 ci-dessous pour connaître les conditions et procédures d'admission à l'Ordre.
Plusieurs professions du secteur du génie sont admissibles au programme d’aide financière (voir la liste complète).
Pour faire reconnaître vos compétences et travailler au Québec, voici quelques options possibles selon votre profil :
Pour tous les détails, consulter le site de l’Ordre des ingénieurs du Québec.
Pour obtenir un permis de l’Ordre des ingénieurs du Québec, il faut :
I. soit être titulaire d’un diplôme québécois en génie reconnu par le gouvernement du Québec
II. soit avoir obtenu de l’Ordre une équivalence de diplôme ou de formation
➡ Démarche dʼéquivalence de diplôme ou de formation
Pour en savoir plus : Règlement sur les normes d’équivalence de diplôme et de formation aux fins de la délivrance d’un permis de l’Ordre des ingénieurs du Québec (OIQ).
Processus à suivre pour l’obtention du permis selon le profil du candidat Résumé du cheminement sous forme de diagramme
- Diplômés du Canada
- Diplômés internationaux
- Diplômés de France : Règlement sur la délivrance d’un permis de l’Ordre des ingénieurs du Québec pour donner effet à l’arrangement conclu par l’Ordre en vertu de l’Entente entre le Québec et la France en matière de reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles (ARM) – ARM entre la France et le Québec – Liste des titres d’ingénieur diplômé délivrés par un établissement d’enseignement français et reconnus par l’Ordre des ingénieurs du Québec
- Membres d’une association canadienne
- Ingénieur sur un projet ponctuel / Demande d’un permis temporaire
- Diplômés en sciences hors génie / Demande d’équivalence de formation
Candidat à la profession d’ingénieur (CPI), programme d’accès à la profession
Le candidat qui détient un diplôme reconnu, ou qui s’est vu reconnaître une équivalence de diplôme ou de formation, est déclaré candidat à la profession d’ingénieur (CPI). Depuis le 1er avril 2019, le programme d’accès à la profession CPI remplace le juniorat et prépare les futurs ingénieurs à exercer avec rigueur et compétence.
N. B. :
- Pour se préparer aux examens exigés par l’OIQ, Polytechnique Montréal offre un Programme de perfectionnement pour les diplômés en génie de l’étranger. Pour être admis au programme, les candidats doivent faire évaluer leur dossier par l’Ordre des ingénieurs et soumettre la prescription de l’Ordre.
Maîtrise du français
Pour obtenir le permis de l’Ordre des ingénieurs du Québec, il faut faire la preuve de la connaissance de la langue française.
N. B. :
- Le candidat qui ne satisfait pas aux exigences de la Charte de la langue française portant sur une connaissance appropriée du français, mais qui, par ailleurs, satisfait aux conditions d’exercice de la profession peut obtenir un permis temporaire d’une durée maximale d’une année.
Voir : Maîtrise du français
N. B. : Pour faire une demande de reconnaissance des acquis au niveau universitaire, il faut déjà être admis dans un programme. Le nombre de crédits pouvant être obtenu en reconnaissance est soumis à un maximum autorisé par les universités et peut varier d’une institution à l’autre.
Pour connaître les établissements universitaires qui offrent un programme :
Choisir une région
Ressources par région
Il est que le service de reconnaissance des compétences pour un programme donné ne soit offert que dans certaines régions du Québec. Si le service souhaité n’est pas présent dans la région recherchée, vérifier la possibilité qu’il le soit dans une région à proximité.
Apprenez en plus sur le Québec et ses régionsTrouvez des ressources spécifiques dans les régions suivantes :
- Abitibi-Témiscamingue
- Bas-Saint-Laurent
- Capitale-Nationale
- Centre-du-Québec
- Chaudière-Appalaches
- Côte-Nord
- Estrie
- Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine
- Lanaudière
- Laurentides
- Laval
- Mauricie
- Montérégie
- Montréal
- Nord-du-Québec
- Outaouais
- Saguenay-Lac-Saint-Jean
Abitibi-Témiscamingue
Aucun établissement de la région n’offre ce type de programme.
Bas-Saint-Laurent
Capitale-Nationale
Centre-du-Québec
Aucun établissement de la région n’offre ce type de programme.
Chaudière-Appalaches
Aucun établissement de la région n’offre ce type de programme.
Côte-Nord
Aucun établissement de la région n’offre ce type de programme.
Estrie
Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine
Aucun établissement de la région n’offre ce type de programme.
Lanaudière
Aucun établissement de la région n’offre ce type de programme.
Laurentides
Aucun établissement de la région n’offre ce type de programme.
Laval
Aucun établissement de la région n’offre ce type de programme.
Mauricie
Montérégie
Aucun établissement de la région n’offre ce type de programme.
Montréal
- École de technologie supérieure
- École polytechnique de Montréal
- Université Concordia (université anglophone)
- Reconnaissance des acquis (crédits de transfert – transfert credits) – Premier cycle
- Bachelor of Engineering -Aerospace Engineering
- Bachelor of Engineering – Electrical Engineering
- Université du Québec à Montréal
- Université McGill (université anglophone)
- Reconnaissance des acquis (crédits de transfert – transfer credits)
- Bachelor of Engineering – Electrical
- Bachelor of Engineering – Honours in Electrical Engineering
Nord-du-Québec
Aucun établissement de la région n’offre ce type de programme.
Outaouais
Saguenay-Lac-Saint-Jean
Ententes de reconnaissance
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Candidat diplômé au Canada (hors Québec)
Si vous êtes détenteur d’un permis pour exercer la profession d’ingénieur délivré par une autre association canadienne d’ingénieurs, vous pouvez demander un permis à l’Ordre des ingénieurs du Québec en vertu du Règlement sur les autorisations légales d’exercer la profession d’ingénieur hors du Québec qui donnent ouverture au permis de l’Ordre des ingénieurs du Québec (OIQ).
Pour en savoir plus, consulter le site de l’OIQ/Diplôme obtenu au Canada
Accord de libre-échange canadien (ALEC)
Les
« dispositions (chapitre 7 de l’ALEC) permettent aux travailleurs qui
exercent une profession ou un métier réglementé d’obtenir la
reconnaissance de leurs qualifications, et ainsi pouvoir travailler
n’importe où au Canada, sans avoir à se soumettre à des exigences
supplémentaires significatives de formation, d’expérience, d’examens ou
d’évaluations dans le cadre d’une demande d’accréditation permis sur
permis ».
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Entente entre le Québec et la France en matière de reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles
Vous pouvez vous prévaloir de l’Arrangement de reconnaissance mutuelle (ARM) si vous êtes autorisé à porter, sur le territoire de la France, un titre d’ingénieur diplômé et avez obtenu un titre de formation au terme d’un programme d’études français accrédité par la Commission des titres d’ingénieur de France (CTI) et agréé par l’autorité compétente québécoise.
Pour en savoir plus
ARM concernant la profession d’ingénieur :
OIQ / Diplôme d’ingénieur obtenu en France
Entente générale :
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Accord de Washington
L’Accord de Washington est une entente de reconnaissance mutuelle conclue entre plusieurs pays signataires dont les systèmes d’agrément des programmes de génie sont comparables.
L’objectif de l’Accord est d’accélérer l’évaluation des titres de compétences d’un candidat provenant d’un pays signataire.
Pour vérifier si votre diplôme est visé par l’Accord de Washington, consulter ce site : Ingénieur Canada / Accord de Washington
Maîtrise du français
« Au Québec, le français est la langue officielle : celle de l’enseignement, du travail, des affaires, du commerce et de la culture. En vivant au Québec, vous utiliserez le français tous les jours. Parler le français facilitera votre intégration et votre participation à la société québécoise. »
Source : Ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration
Apprentissage du français
Peut-être avez-vous besoin d’améliorer votre connaissance du français
pour faciliter votre intégration au Québec ? Voici les services qui
vous sont offerts :
- Services de francisation du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration
Banque d’exercices de français en ligne
- Services de francisation des centres de services scolaires
Consultez l’un des centres de services scolaires de votre région
- Services de francisation répertoriés par l’Office québécois de la langue française
Liste d’établissements offrant des cours de français, langue seconde
Ressources intéressantes pour améliorer ses compétences en français oral et écrit
Ordres professionnels
- Les membres des ordres professionnels doivent avoir une connaissance du français appropriée à l’exercice de leur profession. L’article 35 de la Charte de la langue française indique comment faire la preuve de cette connaissance. Dans certains cas, les ordres professionnels dirigent leurs candidats vers le Service de l’évaluation du français des ordres professionnels de l’Office québécois de la langue française (OQLF) pour qu’ils se présentent à un examen de français.
- Un candidat qui ne satisfait pas aux exigences de la Charte de la langue française, mais qui, par ailleurs, satisfait aux conditions d’exercice d’une profession régie par un ordre professionnel, peut obtenir un permis temporaire d’une durée maximale d’une année. Ce permis temporaire sera remis par l’Ordre concerné, accompagné d’un formulaire d’inscription à l’examen de français de l’Office québécois de la langue française.
- Un renouvellement du permis peut être envisagé, et ce, au plus trois fois. Tout renouvellement est conditionnel au respect de certains critères, dont l’intérêt public. La demande de renouvellement peut donc être refusée.
- Le permis temporaire est uniquement accordé au candidat diplômé à l’extérieur du Québec.
Office québécois de la langue française : examen de français
- Feuillet d’information : Le français, un tremplin pour exercer une profession au Québec
- Guide d’information du nouvel examen de français de l’Office québécois de la langue française
- Ressources intéressantes pour améliorer ses compétences en français oral et écrit
- Liste d’établissements offrant des cours de français, langue seconde
Programmes d'accompagnement
Ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI)
- Programme d’aide financière pour la formation d’appoint en reconnaissance des compétences : Le programme offre un soutien financier aux personnes qui se verront prescrire une formation par un organisme de réglementation. Cette formation doit conduire à l’obtention des permis nécessaires à l’exercice d’une profession. Plusieurs professions du secteur de la santé, de l’enseignement et du génie sont admissibles au programme d’aide financière (voir la liste complète).
- S’installer et s’intégrer au Québec
- Service d’intégration pour les personnes immigrantes
- Services offerts par les partenaires du MIFI
Conseils en emploi
- Accompagnement, counseling et soutien en matière de recherche d’emploi / Répertoire des organismes au Québec
- Guide pratique de recherche d’emploi / Québec
- PROFIL – Clinique juridique – Université de Montréal : La clinique offre un service d’information juridique personnalisé avant, durant et après le processus d’intégration pour exercer une profession ou un métier réglementé au Québec. Le service est offert gratuitement et sur rendez-vous seulement.
Prêts pour professionnels immigrants
La mesure Prêts pour la reconnaissance des titres de compétences étrangers (PRTCE) vise à aider des personnes formées ou diplômées à l’étranger qui éprouvent des difficultés financières lors du processus de reconnaissance de leur diplôme et de leurs qualifications professionnelles au Québec. Cette mesure d’aide financière est administrée par des organismes mandatés qui verront à ce que des établissements financiers attribuent des prêts à de faibles taux d’intérêt aux personnes admissibles.
Source: Gouvernement du Québec
Où faire une demande de prêt ?
Ces organismes sont mandatés par le gouvernement.
Programmes d’insertion pour ingénieurs diplômés à l’étranger
Programme d’aide financière pour la formation d’appoint en reconnaissance des compétences du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration. Le programme offre un soutien financier aux personnes qui se verront prescrire une formation par l’Ordre des ingénieurs du Québec pour certaines catégories de professions en génie (voir la liste complète).
La CITIM (Clef pour l’intégration au travail des immigrants) offre à Montréal un programme d’accompagnement pour aider les ingénieurs diplômés à l’étranger à intégrer un programme spécialisé en génie.
Le Centre R.I.R.E 2000 offre à Québec un accompagnement grâce au Programme d’accès rapide à l’Ordre des ingénieurs du Québec (PAROIQ).
Création d'entreprise
Avez-vous le profil entrepreneurial ?
Questionnaire d’autoévaluation (Banque de développement du Canada)
Façons de se lancer en affaires
-
Acheter une entreprise existante
Formation Achat d’une entreprise
Démarrer sa propre entreprise
Banque de développement du Canada
Formation et outils
- Programme de Soutien au travail autonome (STA)
:
Ce programme offre une aide financière aux personnes (citoyens ou résidents permanents) souhaitant créer leur propre entreprise.Pour en savoir plus, contacter un centre local d’emploi
- Formation en lancement d’une entreprise
Secteur formation professionnelle :
Ce programme de formation donne l’occasion « d’acquérir les connaissances, les habiletés et les attitudes qui permettent de se lancer en affaires, de démarrer son entreprise, d’élaborer un plan de marketing, de communication et une stratégie de vente, d’appliquer des notions de gestion d’entreprise, de négocier son financement et d’élaborer un plan d’affaires. »
Liste des établissements offrant la formation
École des entrepreneurs du Québec
Secteur collégial :
Cégep Dawson : Venture creation in the creative and cultural industries (AEC RNA.07)
Cégep du Vieux-Montréal : Attestation d’études collégiales Création d’entreprises dans le secteur des industries créatives et culturelles (AEC RNA.07)
Autres ressources
Portail Info entrepreneurs (Service du gouvernement du Canada livré par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain)
N. B. : La création d’une entreprise ne dispense pas des qualifications exigées par Emploi-Québec, par la Commission de la construction du Québec (CCQ) ou par d’autres organismes de réglementation, s’il y a lieu.
Liens utiles
- Ingénieurs électriciens et électroniciens/ingénieures électriciennes et électroniciennes | Gouvernement du Québec
- Comités sectoriels de main-d’œuvre (CSMO)
- Comité sectoriel de la main-d’œuvre de l’industrie électrique et électronique
- TechnoCompétences
- Conseil du bâtiment durable du Canada
- Association de la construction du Québec
- Commission de la construction du Québec
- HydroQuébec
- Montréal international
- Québec international
- Investissement Québec
- Technopôle IVÉO
- Institut du véhicule innovant
- Association canadienne des télécommunications sans fil
- Ingénieurs Canada
- Ingénieurs Canada
- Genium 360
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