Personnel professionnel en gestion des affaires
Personnel professionnel en finance et en gestion des affaires
Professionnels/professionnelles des services-conseils en gestion aux entreprises
Description générale
Les professionnels des services-conseils en gestion aux entreprises offrent leurs services à la direction dans des domaines tels que l’analyse de la structure, des opérations, de la gestion des méthodes ou des procédés de gestion de l’organisation afin de suggérer, de planifier et de mettre en place des améliorations. Ils travaillent dans des firmes de conseil en gestion, dans les secteurs public et privé, ou ils peuvent être des travailleurs autonomes.
Autres appellations d'emplois
- conseiller/conseillère en planification du développement d’entreprise
- analyste en gestion des affaires
- analyste de pratiques commerciales
- analyste de systèmes de classement
- analyste en gestion
- analyste des coûts et méthodes
- analyste des méthodes et procédures
- analyste en organisation
- analyste de systèmes de gestion des documents
- analyste en étude du travail
- consultant/consultante en affaires
- expert-conseil/experte-conseil en affaires
- consultant/consultante en gestion des affaires
- coordonnateur/coordonnatrice des normes
- animateur/animatrice de conférences
- conseiller/conseillère en gestion
- consultant/consultante en gestion
- consultant/consultante en analyse organisationnelle
- planificateur/planificatrice d’entreprise
- spécialiste du publipostage
- analyste de professions – services aux entreprises de gestion
- agent/agente d’organisation et de méthodes
- chercheur/chercheuse en organisation et méthodes
- superviseur/superviseure d’analystes de systèmes de classement de documents
- spécialiste de la gestion de documents
- analyste en chronométrage des tâches – services aux entreprises de gestion
- consultant principal/consultante principale en gestion des opérations
- spécialiste des normes
- superviseur/superviseure d’analystes en étude du travail
- analyste de méthodes industrielles et commerciales
- superviseur/superviseure d’analystes en gestion des imprimés
- gestionnaire de documents – services aux entreprises de gestion
- gestionnaire de fichiers
- analyste en gestion des prix
- chef de projet de systèmes de points de vente
- conseiller/conseillère en réorganisation du travail
- spécialiste en perfectionnement d’équipe
- surveillant/surveillante de groupe client
- consultant certifié/consultante certifiée en gestion
- consultant/consultante en exportation
- consultant ISO/consultante ISO
- vérificateur/vérificatrice en qualité – normes industrielles
- consultant/consultante en gestion de l’information sur la santé
- consultant/consultante en gestion de transition
- analyste de processus de chaîne d’approvisionnement
- agent/agente des affaires réglementaires
- spécialiste de la conformité réglementaire
- agent/agente de la conformité réglementaire
- spécialiste des affaires réglementaires
- analyste des affaires réglementaires
- associé/associée des affaires réglementaires
- spécialiste de la gestion de la sécurité
- analyste des affaires en gestion de projet
- chef de projet de la chaîne d’approvisionnement
Perspectives d'emploi
- Excellentes
- Bonnes
- Limitées
- Non-publié
Particularités
Pour travailler comme « professionnel/professionnelle des services-conseils en gestion aux entreprises » :
- Un baccalauréat ou un diplôme d’études collégiales en administration des affaires, en commerce ou une discipline connexe est habituellement exigé.
- Un diplôme d’études supérieures en administration des affaires peut être demandé.
- Pour porter le titre de Conseiller en management certifié (C.M.C.), la personne doit répondre aux exigences de l’Ordre des administrateurs agréés du Québec.
Reconnaissance des compétences
Différentes combinaisons de formation et d'expérience sont possibles pour exercer cette profession. Diverses options de reconnaissance pourraient donc être appropriées.
Pour les personnes ayant de l'expérience en gestion et qui souhaiteraient la faire reconnaître auprès d'un ordre professionnel, consulter le lien ci-dessous concernant l'Ordre des administrateurs agréés du Québec.
- L’Ordre des administrateurs agréés du Québec est un ordre professionnel voué à la gestion et à la gouvernance. Les membres de l’Ordre portent le titre d’« administrateur agréé (Adm.A.) ».
- Il n’est pas obligatoire de faire partie de l’Ordre des administrateurs agréés du Québec, mais l’adhésion à l’ordre professionnel pourrait constituer un atout sur le marché du travail.
Une autre avenue pourrait consister à faire une demande de reconnaissance des acquis dans un programme universitaire lié à la profession.
- Pour avoir la liste des universités offrant de tels programmes, voir le site du gouvernement du Québec Explorer des métiers et des professions.
- Voir également, au besoin, les politiques de reconnaissance des acquis des universités québécoises.
N. B. : Pour faire une demande de reconnaissance des acquis au niveau universitaire, il faut déjà être admis dans un programme. Le nombre de crédits pouvant être obtenu en reconnaissance est soumis à un maximum autorisé par les universités et peut varier d'une institution à l’autre.
Ententes de reconnaissance
Entente entre le Québec et la France en matière de reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles
Grâce à l’Arrangement de reconnaissance mutuelle de qualifications professionnelles France-Québec (ARM), les titulaires des diplômes français suivants sont automatiquement admissibles au permis d’Adm.A. délivré par l’Ordre des administrateurs agréés du Québec :
a) Une licence en économie et en gestion délivrée par le ministre chargé de l’Enseignement supérieur et portant l’une des mentions suivantes : « Économie-Gestion », « Économie-Management », « Sciences de Gestion », « Gestion », « Management », « Administration Économique et Sociale » ;
b) un Master délivré par le ministre chargé de l’Enseignement supérieur et portant l’une des mentions désignées ;
c) un Master délivré par les écoles de commerce visées par le règlement pris en application de l’ARM.
Voir le cadre de l’entente concernant l’Ordre des administrateurs agréés du Québec (OAAQ) : ARM entre l’OAAQ et le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche de la France
Pour en savoir plus
Maîtrise du français
« Au Québec, le français est la langue officielle : celle de l’enseignement, du travail, des affaires, du commerce et de la culture. En vivant au Québec, vous utiliserez le français tous les jours. Parler le français facilitera votre intégration et votre participation à la société québécoise. »
Source : Ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration
Apprentissage du français
Peut-être avez-vous besoin d’améliorer votre connaissance du français
pour faciliter votre intégration au Québec ? Voici les services qui
vous sont offerts :
- Services de francisation du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration
Banque d’exercices de français en ligne
- Services de francisation des centres de services scolaires
Consultez l’un des centres de services scolaires de votre région
- Services de francisation répertoriés par l’Office québécois de la langue française
Liste d’établissements offrant des cours de français, langue seconde
Ressources intéressantes pour améliorer ses compétences en français oral et écrit
Ordres professionnels
- Les membres des ordres professionnels doivent avoir une connaissance du français appropriée à l’exercice de leur profession. L’article 35 de la Charte de la langue française indique comment faire la preuve de cette connaissance. Dans certains cas, les ordres professionnels dirigent leurs candidats vers le Service de l’évaluation du français des ordres professionnels de l’Office québécois de la langue française (OQLF) pour qu’ils se présentent à un examen de français.
- Un candidat qui ne satisfait pas aux exigences de la Charte de la langue française, mais qui, par ailleurs, satisfait aux conditions d’exercice d’une profession régie par un ordre professionnel, peut obtenir un permis temporaire d’une durée maximale d’une année. Ce permis temporaire sera remis par l’Ordre concerné, accompagné d’un formulaire d’inscription à l’examen de français de l’Office québécois de la langue française.
- Un renouvellement du permis peut être envisagé, et ce, au plus trois fois. Tout renouvellement est conditionnel au respect de certains critères, dont l’intérêt public. La demande de renouvellement peut donc être refusée.
- Le permis temporaire est uniquement accordé au candidat diplômé à l’extérieur du Québec.
Office québécois de la langue française : examen de français
- Feuillet d’information : Le français, un tremplin pour exercer une profession au Québec
- Guide d’information du nouvel examen de français de l’Office québécois de la langue française
- Ressources intéressantes pour améliorer ses compétences en français oral et écrit
- Liste d’établissements offrant des cours de français, langue seconde
Programmes d'accompagnement
Ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI)
- Programme d’aide financière pour la formation d’appoint en reconnaissance des compétences : Le programme offre un soutien financier aux personnes qui se verront prescrire une formation par un organisme de réglementation. Cette formation doit conduire à l’obtention des permis nécessaires à l’exercice d’une profession. Plusieurs professions du secteur de la santé, de l’enseignement et du génie sont admissibles au programme d’aide financière (voir la liste complète).
- S’installer et s’intégrer au Québec
- Service d’intégration pour les personnes immigrantes
- Services offerts par les partenaires du MIFI
Conseils en emploi
- Accompagnement, counseling et soutien en matière de recherche d’emploi / Répertoire des organismes au Québec
- Guide pratique de recherche d’emploi / Québec
- PROFIL – Clinique juridique – Université de Montréal : La clinique offre un service d’information juridique personnalisé avant, durant et après le processus d’intégration pour exercer une profession ou un métier réglementé au Québec. Le service est offert gratuitement et sur rendez-vous seulement.
Prêts pour professionnels immigrants
La mesure Prêts pour la reconnaissance des titres de compétences étrangers (PRTCE) vise à aider des personnes formées ou diplômées à l’étranger qui éprouvent des difficultés financières lors du processus de reconnaissance de leur diplôme et de leurs qualifications professionnelles au Québec. Cette mesure d’aide financière est administrée par des organismes mandatés qui verront à ce que des établissements financiers attribuent des prêts à de faibles taux d’intérêt aux personnes admissibles.
Source: Gouvernement du Québec
Où faire une demande de prêt ?
Ces organismes sont mandatés par le gouvernement.
Création d'entreprise
Avez-vous le profil entrepreneurial ?
Questionnaire d’autoévaluation (Banque de développement du Canada)
Façons de se lancer en affaires
-
Acheter une entreprise existante
Formation Achat d’une entreprise
Démarrer sa propre entreprise
Banque de développement du Canada
Formation et outils
- Programme de Soutien au travail autonome (STA)
:
Ce programme offre une aide financière aux personnes (citoyens ou résidents permanents) souhaitant créer leur propre entreprise.Pour en savoir plus, contacter un centre local d’emploi
- Formation en lancement d’une entreprise
Secteur formation professionnelle :
Ce programme de formation donne l’occasion « d’acquérir les connaissances, les habiletés et les attitudes qui permettent de se lancer en affaires, de démarrer son entreprise, d’élaborer un plan de marketing, de communication et une stratégie de vente, d’appliquer des notions de gestion d’entreprise, de négocier son financement et d’élaborer un plan d’affaires. »
Liste des établissements offrant la formation
École des entrepreneurs du Québec
Secteur collégial :
Cégep Dawson : Venture creation in the creative and cultural industries (AEC RNA.07)
Cégep du Vieux-Montréal : Attestation d’études collégiales Création d’entreprises dans le secteur des industries créatives et culturelles (AEC RNA.07)
Autres ressources
Portail Info entrepreneurs (Service du gouvernement du Canada livré par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain)
N. B. : La création d’une entreprise ne dispense pas des qualifications exigées par Emploi-Québec, par la Commission de la construction du Québec (CCQ) ou par d’autres organismes de réglementation, s’il y a lieu.
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